Comprendre le Coût de la Mauvaise Qualité dans le contexte OEE

Dans le secteur industriel, la qualité des produits fabriqués est un enjeu majeur. Le coût de la mauvaise qualité (composants défectueux, reprises, retours clients) affecte directement l’efficacité globale des équipements, ou OEE. Une mauvaise qualité amplifie non seulement les coûts de production mais crée aussi des goulots d’étranglement qui paralysent la chaîne logistique. Une étude sur le sujet est cruciale pour tout responsable souhaitant optimiser ses opérations et préserver la compétitivité de son usine.

Les causes d’une mauvaise qualité dans un atelier de production peuvent être multiples : erreurs humaines, équipements mal réglés ou usure des machines. Ces insuffisances entraînent des variations dans le taux de rendement synthétique(TRS), des arrêts non planifiés, et augmentent le coût de production par unité. Selon Wikipédia, l’OEE est un indicateur clé pour évaluer ces impacts, car il offre une vue précise sur la productivité, la disponibilité et la qualité.

Améliorer l’OEE en réduisant le coût de la mauvaise qualité passe par plusieurs leviers. D’abord, l’amélioration continue via des méthodes Lean pour identifier et supprimer les gaspillages. Ensuite, la digitalisation du shop floor avec des solutions comme TeepTrak qui permettent un suivi en temps réel des performances et une analyse fine des arrêts. Les indicateurs OEE fournissent la base de données nécessaire pour orienter les actions correctrices avec précision.

Illustrons par un atelier de métallurgie utilisant le suivi OEE pour améliorer sa production. Initialement, des défauts dans le processus de coupe entraînaient des rebuts fréquents. Après analyses détaillées par TeepTrak, les ajustements nécessaires ont été mis en place, réduisant les rebuts de 30% en trois mois. Le TRS a vu une amélioration notable, augmentant l’efficacité de l’atelier tout en diminuant le coût unitaire de production.

Pour initier une démarche efficace, il est vital de commencer par un audit des processus existants pour repérer les causes racines de la mauvaise qualité. Il convient ensuite de prioriser les actions rapides, souvent visibles au niveau des arrêts machines, et de surveiller leur impact sur l’OEE grâce à des outils en temps réel. Un projet structuré, piloté par une équipe dédiée, assurera une amélioration durable et mesurable, renforçant ainsi la culture d’amélioration continue.

FAQ

Question 1 : Comment le coût de la mauvaise qualité impacte-t-il l’OEE ?

Un coût de mauvaise qualité élevé entraîne des arrêts machines plus fréquents, diminue le rendement et augmente les rejets, impactant négativement l’OEE. Corriger ces défauts améliore globalement la performance et la rentabilité.

Question 2 : Quels sont les leviers pour réduire le coût de la mauvaise qualité ?

Adopter des pratiques Lean pour éliminer les gaspillages, digitaliser la surveillance des performances avec des solutions comme TeepTrak, et suivre les indicateurs OEE sont des leviers efficaces pour réduire le coût de la mauvaise qualité.

Question 3 : Par où commencer pour améliorer l’OEE dans mon usine ?

Commencez par un audit des processus pour identifier les sources de gaspillage. Implémentez des actions correctives ciblées sur les arrêts fréquents et suivez les résultats avec des outils de suivi en temps réel. Constituez une équipe dédiée à l’amélioration continue.

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